LA BIBLIOTHEQUE MARINE

Vous avez un mémoire, un rapport de stage ou un exposé à faire mais vous ne savez pas par où commencer ?  Inspirez vous des mémoires de vos anciens  pour gagner du temps. Retrouvez des sujets purement maritime avec la méthodologie adéquate pour une bonne orientation de votre travail.

Mais après, n’oubliez pas de nous contacter pour partager votre recherche !

Note
2.6/5

Etude comparative et passage planning pour Abidjan San Pedro des VB IMPALA et FILAO

Situé dans les locaux de la capitainerie du port d’Abidjan, l’Ivoirienne de Remorquage et de Sauvetage (IRES) est une filiale de BOLUDA France, une société qui opère principalement dans les activités de Remorquage portuaire, remorquage hauturier l’assistance en mer, la lutte contre l’incendie et auxiliairement, le lamanage, le pilotage, le transfert de personnel et l’assistance offshore elle est implantée dans 16 ports en France et en Afrique. BOLUDA France, ancien « Les Abeilles » est l’un des tous premiers opérateurs portuaires au monde.
Suite à l’autorisation d’exploitation de sa concession renouvelée en avril 2012 pour 15 ans soit jusqu’en 2027, IRES est la compagnie de remorquage du port d’Abidjan et de San Pedro.
Pour répondre aux conditions d’exploitation de cette concession, l’IRES dispose en conséquence de 09 remorqueurs parmi lesquels figurent, VB IMPALA et VB FILAO sur qui nous établirons une étude comparative avant d’élaborer un passage planning pour une
traversée Abidjan – San-Pedro

Note
4.2/5

AMARRAGE DES NAVIRES AU PORT AUTONOME D’ABIDJAN : ETUDE COMPARATIVE DES POINTS D’AMARRAGE MULTIPLE ET UNIQUE (LE CAS DE LA SIR I ET DE LA SIR II)

      L’objectif principal de tout capitaine et de tout agent shipping est d’immobiliser son navire pour les opérations commerciales afin que celles-ci se passent dans de meilleures conditions.
L’amarrage classiquement connu et répandu dans tous les ports est celui qui se fait le long des quais à l’aide d’amarres.
Cependant, il faut noter que d’autres types d’installations permettant l’amarrage plus adapté pour les gros navires particulièrement pour les pétroliers existent et sont généralement situés à l’extérieur des ports ou en eaux profondes. Celles-ci à l’aide de coffres ancrés dans le fond marin permettent d’immobiliser le navire comme si celui-ci était sur un quai ordinaire. On les regroupe en deux types qui sont :

  • les points d’amarrages uniques (SPM) ;
  • les points d’amarrages multiples (CBM).

      Au port d’Abidjan, ces différents points d’amarrage se matérialisent par les appontements spéciaux appartenant à la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR) d’où les noms SIR I pour les CBM et SIR II pour les SPM.

Note
4.3/5

Les manoeuvres portuaires au port autonome d’abidjan seLon Les nouveLLes techniques de remorquage a L’ires : le cas du "pull-push"

        Malgré tous les progrès constatés, dans la construction des navires marchands, les grands navires, ont toujours besoin d’une assistance lors de leur entrée et de leur sortie d’un port. Cette assistance est assurée par des petits bateaux spécialisés appelés remorqueurs. Équipés de puissantes machines, et ayant une très bonne manœuvrabilité, ils facilitent les accostages et appareillages des navires dans les ports.
         En effet, les techniques du système de remorquages ont évolué, pour s’adapter { l’évolution de la construction navale.

         Nous avons entre-autres, de nouvelles techniques telles que : le ‘’Bow to Bow’’, le remorquage ‘’en indirect’’ et le ‘’Pull-Pushing’’. Ils ont fait leurs apparitions dans ce domaine et sont en pleine bonification. Ces nouvelles techniques ont donné une autre image au remorquage en matière de sécurité et d’efficacité.

        Depuis janvier 2019, ces techniques sont en application au port d’Abidjan. Les pilotes et patrons de remorqueur sont donc tous à la tâche pour les maîtriser.


 

PROTECTION CONTRE LA CORROSION DES INSTALLATIONS MARINES : « LE CAS DE LA COQUE DU REMORQUEUR VB IMPALA »

Ce travail est un mémoire de fin de cycle d’une formation d’officier machine selon la STCW faite à l’Académie Régionale des Sciences et Techniques de la Mer afin d’obtenir le diplôme d’OFFICIER MECANICIEN DE 1ERE CLASSE (OM1).
Après un temps de navigation en qualité de Stagiaire Mécanicien au chantier naval au même titre qu’à bord des navires, j’exerce actuellement comme Chef Mécanicien à la société de remorquage IRES (Ivoirienne de Remorquage et de Sauvetage). Ce thème a été suscité lors des travaux de carénage et aussi par l’intérêt que nous portons aux phénomènes de la corrosion qui représentaient un véritable fléau pour les remorqueurs de l’IRES. Par la suite nous nous sommes intéressés à mieux appréhender ce phénomène du point de vue scientifique en essayant de nous instruire des recueils de recherche de certains scientifiques, des travaux rédigés de plusieurs Docteurs en sciences des technologies des métaux, en électrochimie, en génie maritime, océanique et par certaines normes internationales sur la lutte contre la corrosion (ISO 8044).
Cependant étant dans un Etat en voie de développement du secteur maritime,
avec la récente découverte de plusieurs gisements offshore, nous avons jugé utile de porter notre étude sur le fléau de la corrosion des navires. Afin d’attirer en premier l’attention de nos responsables dans la mise en place d’un moyen efficace de lutte contre la corrosion durant le cycle de vie d’un Navire.
En deuxième d’aider les nouveaux officiers de la marine à mieux cerner les méthodologies de lutte contre la corrosion.
En troisième de proposer une méthode de surveillance de la dégradation de la coque du VB IMPALA.

LA CONVENTION DU TRAVAIL MARITIME (MLC, 2006) APPLIQUEE AUX NAVIRES CABOTEURS : LE CAS DES REMORQUEURS DE L’IRES.

      Véritable code des gens de mer, la convention du travail maritime, 2006 (MLC, 2006) est une convention internationale originale et innovante par sa structure, sa protection rigoureuse des droits des gens de mer alliée à la flexibilité laissée aux États parties dans la mise en œuvre de la convention. Ayant voulu être exhaustive et devenir la référence, la MLC, 2006 est un instrument normatif unique et cohérent, codifiant toutes les normes essentielles du travail maritime des 68 instruments adoptés par l’Organisation               Internationale du Travail (OIT) depuis 1920, mettant à jour les normes du travail maritime par sa réécriture pour refléter véritablement les évolutions du transport maritime. Si les aspects essentiels du travail maritime, y compris les définitions unifiées des termes clés, sont traités par la MLC, 2006, elle a également fourni les mécanismes de mise en oeuvre pour assurer son application universelle.

      La MLC, 2006 est destinée à devenir le « quatrième pilier » du régime réglementaire international pour une navigation de qualité, son entrée en vigueur le 20 août 2013, symbolique et porteuse d’espoir tant pour les gens de mer que pour l’ensemble du secteur du transport maritime, aura des impacts à la fois sur l’industrie du transport maritime et sur la législation nationale des États parties.

      Notre travail a consisté à montrer les avantages, inconvénients dans l’application de la CTM, 2006 à la flotte de remorqueurs d’Ivoirienne de Remorquage et de Sauvetage en mettant l’accent sur les droits, conditions de vie à bord et à terre et solutions convenable en expliquant les cinq grands titres du droit fondamental de ses gens de mer.